Entre croissance démographique et crise écologique, la question de la parentalité revient régulièrement dans les débats. Une question se pose pourtant : la procréation consciencieuse est-elle une forme d’égoïsme quant à la transition écologique ou un acte pour la transformation de la conscience collective aux changements environnementaux ? 

Le mois dernier, le média Le Crayon m’a offert la possibilité de partager mon positionnement face à la situation lors d’un débat avec Laurita Socaliente, coach en développement personnel, Emmanuel Pont, auteur du blog “Enquêtes Ecosophiques”  à l’intersection de l’écologie, de la science et de la politique, et enfin, Sébastien Verdier, qui a subi une stérilisation définitive lorsqu’il avait la vingtaine.

Au fil des échanges, un nouveau débat s’est dessiné : l’écologie est trop intrusive au quotidien ?

Je suis journaliste sur la transition écologique, pourtant je ne suis pas écologiste. A mon avis, c’est important de garder une saine distance, ma vie personnelle m’appartient. En revanche, le contenu que je produis ne m’appartient pas. Pour une fois, j’ai eu l’occasion d’expliquer ce qui est vu comme un « paradoxe » par certains : la possibilité de faire mon travail de journaliste, c’est à dire d’informer, sans pour autant laisser des idéologies pervertir ma neutralité et mon obligation de decrytage au service de l’interet général et de valeurs universelles. 

Retrouvez l’intégralité du débat produit par Le Crayon sur YouTube : 

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