Mise à jour le 27 juin 2024 à 17 h 47 min
Il est évidemment plus « naturel » d’imaginer faire pousser ses fruits et légumes lorsque l’on vit dans un environnement qui s’y prête. Mais ce n’est pas parce que nous vivons en ville que nous devons renoncer au plaisir (et au désir) de produire des aliments bio.
Au-delà de l’ambition de produire sa propre alimentation, les vertus éducatives de ce type de démarche ne sont plus à prouver. Accompagner un légume qui pousse, c’est se reconnecter à une réalité fondamentale : il faut un écosystème, du temps…
Si l’envie de mettre les mains dans la terre vous démange et que vous vivez en ville, ce guide va vous être utile. Vous y découvrirez comment produire beaucoup avec peu de surface, voire de quelle façon aménager votre potager « hors sol ».
Les auteurs se sont amusés à imaginer différents potagers en fonction de la personnalité du jardinier en herbe : gourmand, pressé, paresseux, naturaliste ou encore glaneur.
Tout au long de l’ouvrage, vous trouverez des astuces pour éviter la pollution, optimiser l’espace ou récupérer les eaux de pluie. Enfin, un aperçu par fruit ou par légume vous permet d’identifier vos semis en fonction de vos goûts et des saisons.
Éric Prédine et Franck David, Mon potager bio en ville. Sur cour, terrasse, balcon… Terre Vivante Éditions, 2012
Extrait de mon ouvrage “Changer d’ère, l’air de rien”, paru aux éditions Rue de l’Echiquier –> en vente ici.
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