Dans ma dernière tribune pour Le Figaro, j’analyse la situation actuelle en lien avec les revendications des agriculteurs français alors que se tient à Paris la dernière édition du Salon International de l’Agriculture jusqu’au 03 mars 2024. De quelles manières les consommateurs peuvent-ils avoir un rôle à jouer et s’impliquer à leur niveau ?

Je mets en lumière le lien étroit entre nos choix d’achat et le soutien à nos agriculteurs. En effet, en privilégiant les denrées de saison produites en France voire en circuits courts quand nous en avons la possibilité, nous contribuons directement à préserver les exploitations familiales, à maintenir des emplois sur nos territoires et à garantir une agriculture de qualité, moins dépendante des importations et moins vulnérable face à des normes fluctuantes.

En ces temps de bouleversements, je propose une réflexion sur la responsabilité individuelle de chacun dans ce processus alors que le gouvernement a manqué, dans ses récentes annonces, de nous inclure au débat. Comme je l’écris dans ma tribune, “Les politiques seraient bien inspirés d’insister sur ces modes de consommation qui, à l’échelle du pays, pourraient, sinon tout régler, apporter une partie de la solution en quelques mois. Mais pour oser en appeler aux citoyens, il faut savoir leur parler et en faire des acteurs de la vie politique, un autre grand chantier à ouvrir pour repenser la démocratie du XXIe siècle.“

Pour une perspective approfondie sur ce sujet crucial, je vous invite à lire l’article complet ici.