Mise à jour le 27 juin 2024 à 16 h 32 min
Si rien n’est fait, les grandes villes s’exposent à un tsunami de détritus d’ici à 2050 selon Les Echos, dans un contexte où les détritus produits par les habitants de la capitale ont doublé, passant de 239 kg par personne en 1940 à 485 kg en 2015. Pour échapper à ce raz-de-marée, certaines d’entre elles se convertissent au « zéro déchet » et au tri systématique. D’autres vont jusqu’à supprimer les poubelles de l’espace public. Certains politiques, comme Rachida Dati, propose de faire appel à des sociétés privées pour nettoyer les rues.
Mais si le coeur de problème n’était pas les politiques d’hygiène menées par les pouvoirs publics mais bien notre comportement à nous, citoyens ? Nos sols jonchés de mégots, sacs en plastique et autres déchets sont tout simplement le reflet d’un manque de civisme flagrant, qui a tendance à l’être d’autant plus dans les grandes metropoles.
Car oui, le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas (ou du moins, celui qu’on ne jette pas par terre!)
Retrouvez mon intervention ici : https://www.youtube.com/watch?v=tzIk8Fv79Bc